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Around the flaques d'eau

14 avril 2008

Converses

En grande majorité,
les converses sont les chaussures des gens sans consistance.

et toc.

et les arrogantes chaussures en cuir pointues.
déguisent les simulacres de bob dylan.



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1 janvier 2008

La simplicité ? Atchoum

Bonne année.

Feist.
Comme beaucoup de choses simples que tout le monde aime, j’aimerais bien aimer Feist.
Le probléme avec 1 2 3 4 son dernier tube, c’est qu’au bout de 2 minutes amusantes, ça commence à m’ennuyer ferme et qu’au bout de 4 j’ai la nausée devant tant de trompettes et d’arrangements d’une mievrerie éclaboussant même les animal collectives (les actuels champions du genre - sorte de colors of benethon de la musique pop rock). Hiiirk. Poubelle.

Commencé Pour qui sonne le Glas, d’Hemingway. Un auteur qui m’a toujours paru fade dans son écriture et pour son romantisme desuet. Pour le moment - 60 pages - c’est bon comme une roman d’espionnage bien tenu. Je sens également l’intérét de la thématique sur l’engagement et l’observation d’un groupe de résistants hétéroclites, pendant la guerre d’Espagne, plein de doutes quand à l’intérét de leur mission (faire sauter un pont) Quand à l’écriture elle est certes “classique” - mais précise et d’une efficacité qui ne lésine pas trop, en fait, sur l’ambiance et les états d’âme. A suivre - mais je sens que celui çi se dévore.

Prochainement, youpy, Nord Michigan de Jim Harrisson dont je me suis délecté du journal, ces derniers temps. ^^

5 février 2007

On déménage !

Oui je fus fort discret ces derniers temps, pour changer. Peut être que sur le nouveau je posterai plus ? Va savoir. http://notilules.free.fr/
30 janvier 2007

Weebl's stuff mangos

23 janvier 2007

Be Good or Be Gone, Fionn Regan

Au début ça fait un peu concept de pub "maline" à la ipod. Juste un froncement de sourcil avant de trouver cela, oh, allez, assez beau. Pitchfork en parle (un peu) mieux, : There's something captivating about the gentleness of the song, and it's never overpowered by the visuals. Whether he's completely alone or competing with ambient noise, Regan's voice-- accompanied by just a guitar-- is unwavering, and he has no trouble staring down the viewer when he delivers the song's title-line ultimatum: "Be good/ Or be gone."
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22 janvier 2007

Les (vrais) responsables.

case1
22 janvier 2007

Les (vrais) responsables

Surfant sur le succès (?) des inquiétants personnages de Prickly Pickle, je vais tenter de lancer mon propre comic-strip. Pour définir la chose, et comme son nom l'indique, disons que ça parlera de"Responsabilité" et de tout ce qui tourne autour, sans oublier d'évoquer le web, les geeks, les bureaux la nuit, les chefs de service et la place de Tarkovski dans tout ça. Pas de dates de parution, ni de promesses de résultats, sinon à la louche, une ou deux tentatives par semaine.
20 janvier 2007

Lords of the geeks

iwatamoney Illustration d'un article intitulé "Nintendo compte vendre 6 Millions de Wii d'ici à Mars 2007". Staring Myamoto san (le papa de Mario et zelda) et l'actuel Big boss de Nintendo. Et moi même ? Ah non, je n'ai tjrs pas de wii ! (Non pas que je resiste contre un gadget pour ahuris, tandis qu'il faudrait que je fonde ma boite d'experts comptables pour conduire en mégane, trouver une crêche pour les mômes, un restaurant pour l'anniversaire de mariage, et tout autant d'autres actions responsables - C'est juste qu'elle est en rupture de stocks, la chienne)
20 janvier 2007

Film : The Fountain - Darren Aranovski

Fountain17 Deux jours plus tard, et déjà le film n'est qu'un souvenir embrumé que l'on n'a pas trop envie d'exhumer de ses limbes. Vaguement, je me souviens qu'Aranovski a pourtant essayé - ambition démesurée en ces années de disette cinématographique - de s'exprimer dans une sorte de récit poético-sensuel, déjà apparu et disparu quelquepart, dans les années 70 ... mélant Hugh Jackman, Rachel Weisz, l'amour fou et la mort, le temps présent et les mayas, des symboles religieux et des images de synthése en un découpage d'une complexité aussi riche et appreciable que maladivement excessive, frolant constamment l'overdose de filtres lumière, de particules 3D et de gimmicks inlassablement répétés. Je ne sais plus si j'aimais bien, si j'aimais pas ... un peu des deux, on dira. Le vrai problème, à mes yeux, c'est que le coeur de The Fountain est un mélodrame d'une nunucherie afligeante et que le ridicule du film n'est pas du tout repêché par de l'humour ou de la derision, ni assumé par des idées franchement nouvelles ou transfiguré par la grâce dont il est question (disons que ça ne lévite qu'à un ou deux millimètres sur les bases d'un gros mysticisme new-age). The Fountain, comme la "Lady in the water" de Shyamalan, est un grand film raté qui, pataugeant dans ses sublimes ambitions, s'oublie de lui même, sans qu'on fasse le moindre effort. Balayé du surplus, on garde en tête quelques riffs de guitares électriques, le sourire de Rachel Weisz, un maya furibard. Et puis c'est marre.
18 janvier 2007

Les chiens de paille (straw dogs - Peckinpah)

Trouvé le film assez ennuyeux (donc), dans le fond (les reflexions sur la violence, la vision pessimiste du couple, la misanthropie de Peckinpah sont comme rabachés - on dirait "le mépris" de Godard en plus trouble). Cela dit le montage est assez audacieux. je pense surtout à la scène d'exposition, confuse en tant que telle mais très claire dans ses intentions. Un montage très structuré nous montre les personnages principaux ... Plans par plans ils avancent, chacun dans leur cadre, sans qu'on ait la moindre idée de qui ils sont ni de ce qu'ils sont les uns pour les autres, tandis que dans le cimetière d'à côté, des enfants jouent à la farandole autour des pierres tombales... On voit rarement des débuts de film aussi chaotiques ... Pourtant, et ça saute aux yeux, c'est aussi limpide qu'un western : C'est une scène de confrontation finale, et la femme, avec ses seins filmés avec énormément de complaisance (et sans soutif), serait l'objet de toutes les convoitises. On ne sait rien sur eux, mais la tension est palpable, grace au montage et au jeu de regards des comédiens. C'est comme si Dustin Hoffman allait jeter ses provisions au ralenti et tirer à la carabine qu'il avait caché sous son veston. Et puis on comprend qu'il est américain et que nous sommes dans un patelin d'Angleterre profonde, que la blonde est sa femme et que l'homme en bleu est son ancien amant ... Mais ces brêves explications sont aussitôt suivies par des complications immédiates : l'attraction animale de la femme pour son ex, la méfiance du mari, l'étrange et inquiétant fonctionnement de cette communauté et de ce couple d'exilés (alors que sa femme se sent coinçé avec son ancien amant, Dustin au lieu de la protéger comme un mari normal, se cloitre dans le pub du coin pour s'acheter des cigarettes ...) En quelques plans et des jeux de regard ambigus, des cadres bizarres, l'histoire devient encore plus obscure qu'au départ. Le reste du film, malgré une bonne rasade d'ambiance à la Wuthering Heights, fait très série Z (gueules d'ivrognes, tueries divers et variées). Le "grand film de malade" et la "grosse pochade" se neutralisent constamment, et c'est dommage, mais je comprend tout à fait comment et pourquoi ce film a atteint le statut d'oeuvre culte : un réel talent (ici au montage, au cadrage, on sent Peckinpah penser en images) + une embarrassante complaisance (ici, tout bêtement, pour la violence et le viol) = culte. Un calcul imparable.
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